Particularité : En tant qu'amazone et fille de Zeus, Diana possède de nombreuses particularités. Elle a tout d'abord toujours avec elle un lasso magique avec lequel elle entoure ses ennemis pour leur faire avouer la vérité, elle possède également des bracelets parre-balle.
Niveau pouvoirs dirons-nous, elle en possède de multiples comme sa super-force, le vol, elle est super rapide, sa longévité est accrue, elle parle avec les animaux par télépathie, elle a une très forte résistance aux contrôles mentals, elle a une très grande résistance à la magie, elle se régénère et elle est dotée de la projection astrale. Sans oublier bien sûr qu'elle parle un nombre incalculable de langues

Habitudes : j'aime lire, j'ai toujours aimé lire depuis mon enfance. Me battre, oh oui, c'est peut être bête mais c'est une de mes habitudes et je dirais sauver le monde mais ça, en soit, c'est presque normal. Sinon, je dirais également que j'aime passer du temps à mon travail, en apprendre plus sur le monde qui m'entoure parce que malgré le temps que j'ai passé dans le monde des hommes, il y a sans doute encore beaucoup de choses que j'ignore mais j'apprends vite alors ça devrait aller.
Qualités et Défauts : Mes qualités et mes défauts ?

Je suis quelqu'un d'intelligent, je suis maligne et rusée. Je suis une très bonne guerrière et je possède un grand coeur. Je suis à l'écoute des autres, je possède une immense soif d'apprendre et une curiosité à trois légères limites. Je suis très courageuse et toujours prête à l'action. On pourrait dire de moi que je suis un peu naïve mais méfiez-vous des apparences car derrière se cache une véritable déesse, invincible. Je suis drôle, passionnée, moqueuse par moment, joueuse et j'aime danser.

Je suis toujours prête à aider la veuve et l'orphelin, je suis malgré tout très sensible et surtout très emphatique. Je serais toujours présente pour ceux qui le méritent,
je suis du genre à pardonner facilement et surtout à protéger quiconque en aura besoin. Je ne suis pas du genre imbue de ma personne, ni capable d'être méchante avec les autres, je n'ai pas été élevée de cette manière.

Ce qu'il faut savoir :Je m'appelle Diana Prince mais tout le monde me connaît sous le nom de Wonder Woman, je suis une amazone. Je suis la fille d'Hyppolite, Reine des Amazones et du dieu Zeus. Je suis née sur Themyscira, l'île des Amazones sur laquelle j'ai grandie. L'île était dirigée par ma mère la Reine Hyppolite et par ma tante, la Générale Antiope, la plus puissante guerrière amazone que j'ai connue, elle était chargée d'entraîner les guerrières.

J'ignorais encore à l'époque qui j'étais réellement. L'île fut créer par Zeus et un bouclier la protégeait, la rendant invisible aux yeux du monde des hommes. J'ai été sculptée dans l'argile par ma mère et c'est Zeus qui m'a donné la vie. Dès mon plus jeune âge, j'ai souhaité apprendre à me battre, je voulais connaître l'art du combat, après tout, n'étais-je pas une amazone ? Mais ma mère très protectrice refusa tout bonnement que j'apprenne le combat. Ma tante décide donc de m'entraîner en secret, à mon plus grand plaisir. Très vite, je m'améliore. Un soir, ma mère me raconte l'histoire de la création des amazones :  Zeus, dieu de tous les dieux, créa l'homme autrefois mais l'un de ses fils, Arès dieu de la guerre, affirma que créer les hommes était une erreur et qu'ils détruiraient le monde avec leur avidité. N'ayant pu convaincre les autres dieux, Arès déclencha des guerres et essaya d'exterminer les hommes lui-même. Les autres dieux tentèrent de l'arrêter mais furent tous tués par Arès. Seul Zeus parvint à le foudroyer. Depuis certains pensent qu'Arès est mort et d'autres qu'il se cache en attendant son heure ; si Arès devait revenir, il pourrait, avec ses pouvoirs, corrompre à nouveau le cœur des hommes pour qu'ils se fassent la guerre. Ma mère me montre une épée sacrée gardée précieusement dans une tour, la seule arme permettant à un mortel de tuer un dieu.

Grandissant, ma tante m'apprends durement le combat, je deviens plus forte, l'une des meilleures jusqu'à ce combat où elle me fais chuter et qu'elle me menace avec son épée. Je mets mes deux bracelets devant moi et envoie une intense onde de choc. Ignorant ce qu'il s'est produit, je décide de me rendre à la plage pour échapper aux regards des autres amazones. C'est ce jour là que je découvre un avion en difficulté qui traverse le dôme avant de tomber dans la mer. Ce fut ma première rencontre avec Steve, n'écoutant que mon instinct, je vais à son secours et le ramène sur le bord, découvrant pour la première fois, un homme.

Mais les soldats qui le poursuivaient découvre le bouclier et accostent sur l'île.
Des dizaines de soldats luttent contre ma tribu, c'est à ce moment là qu'Antiope est abattue en voulant me protéger. On réussit finalement à tuer tous les allemands et les amazones veulent tuer Trevor mais je le défends, leur faisant comprendre qu'il nous a aidé. Il passe donc sous le "lasso" et nous dit toute la vérité et c'est là que je comprends que ce soit être Arès qui fait tout cela. Il explique que 27 pays sont entrés en guerre et qu'en quatre ans, il y a déjà eu 25 millions de morts. Devant tout cela, je demande à ma mère de me laisser partir avec le pilote pour arrêter Arès et le tuer.

Elle refuse, je décide donc durant la nuit de fuir avec Steve dans un bateau, emmenant l'épée avec moi ainsi que le bouclier et le lasso. Durant la croisière,
j'explique à Trevor que les hommes ont du être envoutés par Arès et que dès que je l'aurais tué, tout redeviendra comme avant et la guerre s'arrêtera. Après des jours de navigation, on arrive à Londres, une ville très moche. Trevor m'emmène d'abord dans une boutique pour m'acheter des vêtements modernes afin que je passe inaperçue. Mon comportement, curieuse du monde des hommes, est tel que toutes les têtes se tournent sur mon passage. J'harcèle Trevor pour qu'il m'emmène sur le front ; selon moi, c'est là que doit se trouver Arès qui doit tout faire pour qu'il y ait le plus de victimes possible. Avant cela, Trevor doit amener le carnet qu'il a volé à son état-major. C'est ainsi que je rencontre plusieurs généraux arrogants et le distingué Sir Patrick Morgan, membre du Parlement britannique, seul parmi les Lords à vouloir négocier la paix. Le carnet de Maru étant écrit dans une langue inconnue, personne n'arrive à le traduire. Je me distingue en annonçant que c'est un mélange d’ottoman et de sumérien et en fait la traduction : Maru aurait inventé un nouveau gaz fabriqué non pas avec du soufre (comme le gaz moutarde) mais avec de l'hydrogène, rendant ainsi les masques à gaz impuissants. Trevor se porte volontaire pour aller avec son équipe éliminer Maru et détruire son gaz. L'état-major refuse, persuadé que la signature de l'armistice ne doit pas être menacée. On décide d'aller tout de même sur le front en Belgique. Sir Patrick approuve et nous fournit de l'argent et des papiers. Trevor recontacte ses trois frères d'armes — un Français manipulateur et kleptomane, Sameer, le tireur d'élite écossais Charlie et le Chef, un contrebandier Amérindien en exil — et nous partons sur le front avec eux. Après tout ce qu'on m'a dit de lui, j'en vient à me demander si le général Ludendorff n'est pas Arès réincarné dans un corps humain.

Pendant ce temps, sur le front, le général allemand Erich Ludendorff devient fou en apprenant que l'Allemagne négocie sa capitulation et, grâce au gaz créé par le Dr Maru, élimine tous les généraux chargés par le Kaiser de signer l'armistice avec les autres pays. Malgré la ruine de l'Allemagne, Ludendorff reste persuadé que la victoire est possible avec le gaz d'Isabel Maru. Sur place, je découvre les horreurs de la guerre et veut sans cesse aider les civils blessés ou affamés. Trevor refusant de compromettre notre mission, je perds patience et dévoile ma force et mes pouvoirs devant tout le monde en attaquant un bataillon allemand à moi seule et en libérant un village occupé. Dés lors, je suis acclamée comme une déesse et gagne l'admiration de Trevor, Sameer, Charlie et du Chef. Trevor révèle alors aux autres que je ne suis pas une humaine normale et que je viens d'une île magique peuplée uniquement de femmes. Charlie n'y croit pas, Sameer doute mais le Chef est prêt à y croire après avoir vu mes pouvoirs. Le soir même, nous fêtons avec les habitants la libération du village. Trevor m'apprends comment danser avant de m'emmener dans sa chambre pour que l'on passe la nuit ensembles.

Le lendemain, après une heure de marche, on atteint le château où Ludendorff doit donner une réception pour convaincre l'état-major allemand de ne pas se rendre tout de suite. Avec un uniforme et une robe de soirée volés, Trevor et moi, on s'introduit dans le château. Pendant les cocktails, je suis tout bonnement sur le point de tuer Ludendorff mais Trevor m'en empêche, la situation n'étant pas à notre avantage d'après lui. Ludendorff fait devant tout le monde une démonstration du gaz de Maru en bombardant le village que nous avions libéré la veille. Épouvantés, nous quittons le château et regagnons le village où je tombe sur tous les habitants morts. Ivre de rage, je rends Trevor responsable du massacre du fait qu'il m'a empêchée de tuer Ludendorff. Excédée, je décide d'arrêter de finasser et d’attaquer de front la base de Ludendorff. Trevor, Sameer, Charlie et le Chef m'accompagne. Durant la bataille, je finis par coincer Ludendorff, rendu plus fort par une ampoule de gaz bleu de Maru, et le tue. Contrairement à ce que je croyais, rien ne se passe : les soldats allemands continuent à se battre comme auparavant. Trevor me fait comprendre que je me suis peut-être trompée et qu'Arès n'a rien à voir avec cette guerre : ce conflit a bien été déclenché par des hommes parce qu'il y a beaucoup de vice en eux. Je m'effondre, mes croyances partant en fumée. Après toutes les horreurs que j'ai vue, je ne pouvais pas me résigner à croire que les hommes ont fait ça de leur plein gré et qu'ils étaient dans leur état normal (et non ensorcelés par Arès). Écœurée, je décide de ne plus rien faire et annonce à Trevor et aux autres qu'ils vont devoir se passer de moi à partir de maintenant : j'estime tout bonnement que les hommes ne méritent pas que je lutte pour eux. Trevor, Sameer, Charlie et le Chef continuent à affronter les soldats de la base. Trevor essaie d'empêcher le décollage d'un avion, rempli du poison de Maru. Installée au sommet d'un mirador, je les regarde faire sans bouger lorsque j'entends un bruit derrière moi. Un homme, caché dans la pénombre, m'observe : c'est sir Patrick Morgan. Alors que je me demande ce qu'il fait là, il me dit que j'avais raison : les humains ne méritent pas qu'on les aide, ils méritent juste la destruction. Je comprends qu'il est Arès réincarné. J'essaie de le tuer avec l'épée sacrée mais Arès la fait fondre : seul un dieu peut tuer un autre dieu. Dans la mesure où je suis la fille de Zeus, je dois juste réussir à mieux contrôler mes pouvoirs. Arès enfile une armure divine et j'échoue à le vaincre. Pour me convaincre, il me rappelle les horreurs que j'ai vues : comme il l'avait affirmé autrefois aux autres dieux, les hommes sont mauvais par nature. Il jure n'avoir absolument pas déclenché cette guerre en corrompant les hommes (c'était inutile) même s'il reconnaît avoir susurré à Maru, dans son subconscient, la formule de son gaz pour mettre fin à l'espèce humaine.

L'avion plein de gaz étant sur le point de décoller, Trevor cherche une solution ; si l'avion décolle, il tuera en larguant son gaz des milliers de personnes ; s'ils empêchent le décollage, l'avion larguera le gaz au sol et tuera quand même beaucoup de personnes, le largage étant réglé automatiquement. Trevor réalise qu'il n'y a qu'une solution : faire décoller l'avion et le faire exploser en plein ciel, ainsi le gaz, composé d'hydrogène, se consumera dans les flammes. Trevor se sacrifie et décolle avec l'avion après m'avoir dit qu'il m'aimait et m'avoir donné sa boussole pendant que Sameer, Charlie et le Chef occupent les soldats allemands. J'assiste à l'explosion de l'avion, impuissante. La rage s'emparant de moi, mes pouvoirs de déesse se décuplent et je reprend l'avantage sur Arès. Je reconnaîs que les hommes sont viciés mais le sacrifice de Trevor m'a donné envie de croire en autre chose. En l'amour. Je finis par achever Arès en le foudroyant, mettant fin au cauchemar.

Après la signature de l'armistice, Sameer, Charlie, le Chef et moi, on se revoit une dernière fois pour rendre un ultime hommage à Steve sur un mémorial aux soldats tombés avant de se séparer définitivement. Aujourd'hui, je vis à Paris et, malgré tout ce que je sais sur les hommes, intervient quand même dès que j'entends la sirène de la police, jusqu'à ce jour là où je me suis retrouvée dans une ville que je connais pas... Comment ? Je n'en sais rien mais je dois impérativement rentrer chez moi, il en va du bien du monde.